J'ai eu un entretien où on m'a conseillé de "raccourcir" le texte. Ce que j'ai fait. Je vous invite donc à partir de la semaine prochaine à suivre les aventures, non plus de Thomas, mais d'Amaury.
A bientôt!
vendredi 18 décembre 2009
vendredi 11 décembre 2009
vocabulaire toujours
Sacha, 7 ans, petit déjeuner du matin :
- Quand mon frère fait quelque chose de bien, je lui impute, tu comprends?
- Quand mon frère fait quelque chose de bien, je lui impute, tu comprends?
mercredi 2 décembre 2009
vocabulaire...
Sacha, 7 ans, au petit déjeuner :
- maman, tu sais, hier, pour jouer à un jeu, je l'ai fait de manière aléatoire.
Vous, stoïque, supputant qu'il répète des mots entendus sans les comprendre :
- Ca veut dire quoi, mon chéri?
- Ah, tu sais pas? Ca veut dire que je m'en suis remis au hasard pour décider du jeu avec lequel j'allais jouer.
Bien sûr.
- maman, tu sais, hier, pour jouer à un jeu, je l'ai fait de manière aléatoire.
Vous, stoïque, supputant qu'il répète des mots entendus sans les comprendre :
- Ca veut dire quoi, mon chéri?
- Ah, tu sais pas? Ca veut dire que je m'en suis remis au hasard pour décider du jeu avec lequel j'allais jouer.
Bien sûr.
jeudi 26 novembre 2009
La pendule
J'ai acheté une pendule
Il faut être à l'heure du temps
Et je l'ai appelé Ursule
Et elle me donne le temps
Elle me chante le beau temps
Du lever, le temps amours
Le temps de mourrit lentement
Inlassablement et toujours
Il faut être à l'heure du temps
Et je l'ai appelé Ursule
Et elle me donne le temps
Elle me chante le beau temps
Du lever, le temps amours
Le temps de mourrit lentement
Inlassablement et toujours
jeudi 19 novembre 2009
Ombres nocturnes
Pluie battant carreaux
Carreaux d'amour
D'amour que reflète
Reflète un visage
Le visage bien-aimé
Bien aimé bleuté
Bleuté sur les carreaux
Les carreaux noirs
Noirs de pluie battante
Battante sur les yeux
Les yeux verts du visage
Visage pleurant
Pleurant dans les cheveux
De l'autre en bleu
Bleu soleil miroitant
Miroitant le temps
Le temps de la nuit
La nuit nocturne
Nocturne des ombres
Des ombres taciturenes
Carreaux d'amour
D'amour que reflète
Reflète un visage
Le visage bien-aimé
Bien aimé bleuté
Bleuté sur les carreaux
Les carreaux noirs
Noirs de pluie battante
Battante sur les yeux
Les yeux verts du visage
Visage pleurant
Pleurant dans les cheveux
De l'autre en bleu
Bleu soleil miroitant
Miroitant le temps
Le temps de la nuit
La nuit nocturne
Nocturne des ombres
Des ombres taciturenes
jeudi 30 juillet 2009
Tu la verras
Tu la verras assise au creux de l'âtre, flambant de ses yeux les jours heureux
Tu la verras, triste et pâle souriant d'un mystérieux souvenir
Tu la verras serrée contre les pierres, un enfant sur les bras, l'amour au coeur
Tu la verras cheveux dénoués, simple pétale qui contemple le spectacle des oracles
Tu la verras guettant le moindre bruit, angoissée à l'idée de fracas
Tu la verras prenant sa tête dans les mains
Tu la verras, même quand elle n'y seras plus
Et ce jour là, tu comprendras.
Tu la verras, triste et pâle souriant d'un mystérieux souvenir
Tu la verras serrée contre les pierres, un enfant sur les bras, l'amour au coeur
Tu la verras cheveux dénoués, simple pétale qui contemple le spectacle des oracles
Tu la verras guettant le moindre bruit, angoissée à l'idée de fracas
Tu la verras prenant sa tête dans les mains
Tu la verras, même quand elle n'y seras plus
Et ce jour là, tu comprendras.
lundi 27 juillet 2009
Paroles aoutées
Eloigne-toi de ces formes poétiques abstraites
Et regarde mon âge
Dis-moi, que vois-tu?
L'ouate d'un visage
Le rectangle du corps
L'ambre d'yeux aperçus?
Regarde-moi bien en face
Tu vois l'amour de la vie
Le chant d'une liberté
Mais quoi encore?
Le goût du vent s'enchevêtrant dans les lais
Mais encore? Et puis?
Le monde, cinq milliards d'hommes réunis en masse
Pour exister dans les relents d'encens
Pour naître, exister, connaître
Les senteurs dansant lentement sur les salants
Dans la nuit de soie noire près des chalands
Et regarde mon âge
Dis-moi, que vois-tu?
L'ouate d'un visage
Le rectangle du corps
L'ambre d'yeux aperçus?
Regarde-moi bien en face
Tu vois l'amour de la vie
Le chant d'une liberté
Mais quoi encore?
Le goût du vent s'enchevêtrant dans les lais
Mais encore? Et puis?
Le monde, cinq milliards d'hommes réunis en masse
Pour exister dans les relents d'encens
Pour naître, exister, connaître
Les senteurs dansant lentement sur les salants
Dans la nuit de soie noire près des chalands
dimanche 5 juillet 2009
Comédie satyrique
On m'a dit vise etj'ai visé
On m'a dit tire et j'ai tiré
Etj'ai tué la vérité
Commej'avais tué la paix
Boom à grands coups de neutrons
Je tue nos personnalités
Boom à grands coups de protons
J'ai balayé l'humanité
Et vlam c'est ce qu'on appelle
Un grand et bon coup de balai
Tous enterrés à la chapelle
Et hop je secoue mon balai
Ca repousse peine perdue
L'humanité? Mauvaise trace
Des vrais faux fous hurluberlus
Pour décider de vrais limaces
Si je fais çi si je fais ça
Pourtant toutefois malgré tout
Moi, vite décidé : voilà
après tout, ils étaient tous fous
On m'a dit tire et j'ai tiré
Etj'ai tué la vérité
Commej'avais tué la paix
Boom à grands coups de neutrons
Je tue nos personnalités
Boom à grands coups de protons
J'ai balayé l'humanité
Et vlam c'est ce qu'on appelle
Un grand et bon coup de balai
Tous enterrés à la chapelle
Et hop je secoue mon balai
Ca repousse peine perdue
L'humanité? Mauvaise trace
Des vrais faux fous hurluberlus
Pour décider de vrais limaces
Si je fais çi si je fais ça
Pourtant toutefois malgré tout
Moi, vite décidé : voilà
après tout, ils étaient tous fous
vendredi 3 juillet 2009
Miami Miam Miam se réveille
Le réveil sonna.
Miami Miam Miam s’étira, bailla, ouvrit un œil et demanda :
- Quelle heure est-il ?
- 67heures et 84minutes !
- Oh ! Oh ! Zut, zom, poum ! Je suis en retard ! Je suis en retard ! J’ai rendez-vous avec Crococohelcroco.
Miami Miam Miam bondit hors du lit et s’élança vers la salle de bain. Il ouvrit le dentifrice, l’étala sur sa figure, se frotta les mains, se rinça, peignit sa houppette avec une brosse et du sent bon, et se regarda dans la glace.
Il était tout propre. Au petit déjeuner, maintenant ! Vite, vite ! Il était en retard !
Et hop ! Il croqua dans la glace. Puis il mordit dans les épinards frais avant de souffler sur son lait à la fraise. Quel délicieux repas !
Miami Miam Miam se leva, mit son manteau et partit à la rencontre de Crcocohelcroco.
Le temps était bien couvert. Très vite, Miami Miam Miam sentit les premières gouttes. Ah ! Quel bonheur ! Il sortit la langue pour goûter l’eau de pluie. Elle avait un goût particulier. Elle sentait la vanille !
Et si jamais Crocohelcroco ne l’avait pas attendu ? Et s’il n’était pas là ? Tout ça parce qu’il était en retard ! Non, ce n’était pas possible. Ils devaient jouer ensemble, Crocohelcroco l’avait forcément attendu ! Qu’y avait-il de plus important que jouer ?
Allez, il fallait se remettre en route et rejoindre la maison de Crocohelcroco. Il fallait se dépêcher, sinon, il serait vraiment très en retard ! Et Miami Miam Miam partit en courant à la rencontre de Crocohelcroco. Ce n’était pas facile, l’herbe était mouillée, il devait faire attention à ne pas glisser !
Il passa d’abord chez son ami. Il frappa, cria :
- Crocohelcroco ? Crocohelcroco ? Est-ce que tu es là ? Est-ce que tu dors ? Est-ce qu’il y a quelqu’un ? Est-ce qu’il n’y a personne ?
Mais Crocohelcroco n’était pas chez lui. C’était sûr, il était vraiment en retard ! Il avait loupé le rendez-vous. Et Crocohelcroco ne l’avait pas attendu ! Zut, zom, poum !
Alors Miami Miam Miam se dirigea vers son lieu de jeu favori. Peut-être Crocohelcroco y serait-il ?
En voulant se dépêcher, Miami Miam Miam glissa, tomba et se tordit le nez ! Zut, zom, poum ! Tant bien que mal, il se releva, et arriva au terrain de jeux en faisant attention à l’herbe mouillée.
Mais Crocohelcroco n’y était pas. Alors Miami Miam Miam alla chez Rikikitoutpetit, l’amoureuse de Crococohelcroco, mais il n’’était pas chez elle non plus. Ah ! Zut, zom, poum ! Pourquoi Crocohelcroco ne l’avait-il pas attendu ?
- Mais où se cache-t-il ? Où a-t-il bien pu aller ?
- - Je ne sais pas, lui dit Rikikitoutpetit
- J’avais rendez-vous avec Crococohelcroco, mais je suis en retard et maintenant, je ne le trouve pas.
- Je ne sais pas répéta Rikikitoutpetit. Il était fatigué de t’attendre. Il était tout seul et il était triste parce que tu n’étais pas venu.
- Je ne m’étais pas réveillé. Alors, je suis en retard !
- Il m’a dit qu’il allait jouer à la mare.
Et zut, zom, poum ! Miami Miam Miam s’y rendit tout de suite.
Mais à la mare, pas de Crococohelcroco non plus. Miami Miam Miam appela, cria, et cria encore :
- - Crocohelcroco ? Crocohelcroco ? Est-ce que tu es là ? Est-ce que tu dors ? Il y a quelqu’un ? Il n’y a personne ?
Et personne ne répondit. Zut, zom, poum ! Ah ! Tout ça parce qu’il était en retard ! Demain, il programmerait le réveil à 72 heures et 94 minutes ! Zut, zom, poum ! Il pourrait même ajouter à son petit déjeuner de la confiture de charbon, la meilleure qui soit ! Zut, zom, poum !
C’est alors que Miami miam Miam posa le pied sans regarder sur de l’herbe mouillé et glissa. Il glissa dans la mare !
Il allait se noyer !
- Au secours !
A ce moment, Crocohelcroco fendit l’eau à toute vitesse et attrapa son ami par sa houppette. Il le recracha sur la berge.
- Ouf ! Juste à temps !
- Mais où étais-tu ? Je t’ai cherché partout ! dit Miami Miam Miam.
- Mais enfin, tu n’as pas deviné ? Nous jouions à cache-cache !
Et zut…
Miami Miam Miam s’étira, bailla, ouvrit un œil et demanda :
- Quelle heure est-il ?
- 67heures et 84minutes !
- Oh ! Oh ! Zut, zom, poum ! Je suis en retard ! Je suis en retard ! J’ai rendez-vous avec Crococohelcroco.
Miami Miam Miam bondit hors du lit et s’élança vers la salle de bain. Il ouvrit le dentifrice, l’étala sur sa figure, se frotta les mains, se rinça, peignit sa houppette avec une brosse et du sent bon, et se regarda dans la glace.
Il était tout propre. Au petit déjeuner, maintenant ! Vite, vite ! Il était en retard !
Et hop ! Il croqua dans la glace. Puis il mordit dans les épinards frais avant de souffler sur son lait à la fraise. Quel délicieux repas !
Miami Miam Miam se leva, mit son manteau et partit à la rencontre de Crcocohelcroco.
Le temps était bien couvert. Très vite, Miami Miam Miam sentit les premières gouttes. Ah ! Quel bonheur ! Il sortit la langue pour goûter l’eau de pluie. Elle avait un goût particulier. Elle sentait la vanille !
Et si jamais Crocohelcroco ne l’avait pas attendu ? Et s’il n’était pas là ? Tout ça parce qu’il était en retard ! Non, ce n’était pas possible. Ils devaient jouer ensemble, Crocohelcroco l’avait forcément attendu ! Qu’y avait-il de plus important que jouer ?
Allez, il fallait se remettre en route et rejoindre la maison de Crocohelcroco. Il fallait se dépêcher, sinon, il serait vraiment très en retard ! Et Miami Miam Miam partit en courant à la rencontre de Crocohelcroco. Ce n’était pas facile, l’herbe était mouillée, il devait faire attention à ne pas glisser !
Il passa d’abord chez son ami. Il frappa, cria :
- Crocohelcroco ? Crocohelcroco ? Est-ce que tu es là ? Est-ce que tu dors ? Est-ce qu’il y a quelqu’un ? Est-ce qu’il n’y a personne ?
Mais Crocohelcroco n’était pas chez lui. C’était sûr, il était vraiment en retard ! Il avait loupé le rendez-vous. Et Crocohelcroco ne l’avait pas attendu ! Zut, zom, poum !
Alors Miami Miam Miam se dirigea vers son lieu de jeu favori. Peut-être Crocohelcroco y serait-il ?
En voulant se dépêcher, Miami Miam Miam glissa, tomba et se tordit le nez ! Zut, zom, poum ! Tant bien que mal, il se releva, et arriva au terrain de jeux en faisant attention à l’herbe mouillée.
Mais Crocohelcroco n’y était pas. Alors Miami Miam Miam alla chez Rikikitoutpetit, l’amoureuse de Crococohelcroco, mais il n’’était pas chez elle non plus. Ah ! Zut, zom, poum ! Pourquoi Crocohelcroco ne l’avait-il pas attendu ?
- Mais où se cache-t-il ? Où a-t-il bien pu aller ?
- - Je ne sais pas, lui dit Rikikitoutpetit
- J’avais rendez-vous avec Crococohelcroco, mais je suis en retard et maintenant, je ne le trouve pas.
- Je ne sais pas répéta Rikikitoutpetit. Il était fatigué de t’attendre. Il était tout seul et il était triste parce que tu n’étais pas venu.
- Je ne m’étais pas réveillé. Alors, je suis en retard !
- Il m’a dit qu’il allait jouer à la mare.
Et zut, zom, poum ! Miami Miam Miam s’y rendit tout de suite.
Mais à la mare, pas de Crococohelcroco non plus. Miami Miam Miam appela, cria, et cria encore :
- - Crocohelcroco ? Crocohelcroco ? Est-ce que tu es là ? Est-ce que tu dors ? Il y a quelqu’un ? Il n’y a personne ?
Et personne ne répondit. Zut, zom, poum ! Ah ! Tout ça parce qu’il était en retard ! Demain, il programmerait le réveil à 72 heures et 94 minutes ! Zut, zom, poum ! Il pourrait même ajouter à son petit déjeuner de la confiture de charbon, la meilleure qui soit ! Zut, zom, poum !
C’est alors que Miami miam Miam posa le pied sans regarder sur de l’herbe mouillé et glissa. Il glissa dans la mare !
Il allait se noyer !
- Au secours !
A ce moment, Crocohelcroco fendit l’eau à toute vitesse et attrapa son ami par sa houppette. Il le recracha sur la berge.
- Ouf ! Juste à temps !
- Mais où étais-tu ? Je t’ai cherché partout ! dit Miami Miam Miam.
- Mais enfin, tu n’as pas deviné ? Nous jouions à cache-cache !
Et zut…
jeudi 25 juin 2009
Qu'est ce que tu dis?
Tes problèmes,
Tu peux te les garder
J’ai pas besoin de toi
Pour assurer ma vie
Pas besoin de toi
…Pas besoin de toi…
Pas besoin…
…Pas besoin…
…Besoin de toi…
Tu peux te les garder
J’ai pas besoin de toi
Pour assurer ma vie
Pas besoin de toi
…Pas besoin de toi…
Pas besoin…
…Pas besoin…
…Besoin de toi…
lundi 22 juin 2009
Ma jeunesse s'en est allée
Ma jeunesse s'en est allée
Sans bruit et tout tout doucement
Un soir de brume, à jamais
Elle est partie en me laissant
Et pour un instant d'abandon
Et un rire pour toujours éteint
Comme un deux trois et puis s'en vont
Pleurs résonnent comme une fin
Ma jeunesse s'en est allée
Elle m'a quitté pour un amant
Un soir de brume, à jamais
Mon miroir était son amant
Ma jeunesse s'en est allée
Sans bruit et tout tout doucement
La brume s'y était empalée
Elle est partie confusément
Sans bruit et tout tout doucement
Un soir de brume, à jamais
Elle est partie en me laissant
Et pour un instant d'abandon
Et un rire pour toujours éteint
Comme un deux trois et puis s'en vont
Pleurs résonnent comme une fin
Ma jeunesse s'en est allée
Elle m'a quitté pour un amant
Un soir de brume, à jamais
Mon miroir était son amant
Ma jeunesse s'en est allée
Sans bruit et tout tout doucement
La brume s'y était empalée
Elle est partie confusément
samedi 20 juin 2009
Silence
Des pas crissent sur les cailloux
Je parle mais tu n'entends pas
Et des cailloux heurtent la boue
Je parle et tu ne réponds pas
Une prison et des barreaux
Et des chaînesinvisibles
Et même dans les pires maux
tout, tout est peine indiscible
Je parle mais seul le silence
Répond. Je n'entends plus rien
Rien que le vent et le silence
Autant d'invisibles liens
Je parles mais tu n'entends pas
Et des cailloux heurtent la boue
Je parle. Tu ne réponds pas.
Des pas crissent sur les cailloux
Je parle mais tu n'entends pas
Et des cailloux heurtent la boue
Je parle et tu ne réponds pas
Une prison et des barreaux
Et des chaînesinvisibles
Et même dans les pires maux
tout, tout est peine indiscible
Je parle mais seul le silence
Répond. Je n'entends plus rien
Rien que le vent et le silence
Autant d'invisibles liens
Je parles mais tu n'entends pas
Et des cailloux heurtent la boue
Je parle. Tu ne réponds pas.
Des pas crissent sur les cailloux
vendredi 19 juin 2009
Maybe we can
Maybe we can cross over
Again against our heroes
And shut cloudyly
Maybe we can
Go through the ocean
‘til we hope a new bettter life
Then cry aloud
Maybe we could still believe,
Believe lies and tears
Believe we just can be
Maybe we can
Again against our heroes
And shut cloudyly
Maybe we can
Go through the ocean
‘til we hope a new bettter life
Then cry aloud
Maybe we could still believe,
Believe lies and tears
Believe we just can be
Maybe we can
jeudi 18 juin 2009
Un jour, une nuit
Un jour, une nuit
Un jour, une nuit,
Un soir, un désespoir,
Le soleil couchant, les corps s’endormant,
Au coin du feu
Cœur en feu
Larmes pour étancher les peines
Sourire pour cloîtrer les haines
Sans douceur
Cœur en pleurs
Froid de tes membres
Mort d’ambre, de cristal et d’encens
Pour étouffer les sens
Un jour, une nuit,
Un soir, un désespoir
Debout, cœur en feu
Ton absence un peu
Ton absence,
Ton silence
Ta différence
Ma souffrance
Tout en douceur, grave et lente et triste
Tout en douleur, tout en cri, toute égoïste
Un jour, une nuit,
Un soir, un désespoir
Un jour, une nuit,
Un soir, un désespoir,
Le soleil couchant, les corps s’endormant,
Au coin du feu
Cœur en feu
Larmes pour étancher les peines
Sourire pour cloîtrer les haines
Sans douceur
Cœur en pleurs
Froid de tes membres
Mort d’ambre, de cristal et d’encens
Pour étouffer les sens
Un jour, une nuit,
Un soir, un désespoir
Debout, cœur en feu
Ton absence un peu
Ton absence,
Ton silence
Ta différence
Ma souffrance
Tout en douceur, grave et lente et triste
Tout en douleur, tout en cri, toute égoïste
Un jour, une nuit,
Un soir, un désespoir
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